Des organismes, comme l’ANAH ou l’Agence nationale de l’habitat, sont l’allié des propriétaires à revenus modestes dans leur projet d’adaptation d’un immobilier aux situations des seniors et handicapés. Les aides ne sont toutefois accordées qu’à ceux ayant u revenu fiscal inférieur au plafond défini par l’organisme.
Les montants selon la situation géographique et le revenu fiscal
Les montants d’aides de la part de l’ANAH, en matière de travaux d’adaptation d’un immobilier pour être accessible en toute facilité aux seniors et aux personnes en situation de handicap, dépendent de deux principaux critères, dont la situation géographique et le niveau de revenu fiscal. En effet, ces montants ne sont pas les mêmes pour un logement situé en Ile-de-France et celui qui se trouve en province. Dans le calcul des aides financières, l’équipe de cet organisme se base sur le revenu fiscal en divisant les ménages en deux catégories différentes : très modestes et modestes. Pour les propriétaires avec des revenus très modestes, les montants d’aides sont, sans doute, plus importants que ceux des foyers modestes. Ils vont jusqu’à 50 % de la totalité des travaux réalisés, sans dépasser le plafond de 10 000 €, s’ils sont limités à 35 € (au maximum 7 000 €) pour les ménages modestes.
Bien faire une demande d’aides financières
Il n’est généralement pas facile de réaliser seul le montage d’une demande d’aides financières en matière de la réalisation d’un projet d’adaptation d’un immobilier pour le confort des personnes à mobilité réduite. Heureusement qu’il est possible de demande d’aide d’un prestataire. Mais il faut bien vérifier si celui-ci est réellement agréé par l’Etat. Ce professionnel aidera le propriétaire à mieux comprendre les différents travaux à réaliser. Il lui assistera également dans la réalisation des devis et le choix d’entreprises à qui confier les travaux.